À tester

La lecture de American Psycho ne me laisse pas indifférent.

Cela fait déjà longtemps que je me pose la question de la décorrélation possible entre la douleur et la violation d’intégrité corporelle.

Car, biologiquement, la première est là pour signaler la seconde, mais l’être humain a su se munir d’artifices qui permettent de provoquer l’une sans l’autre, dans les deux sens.

Dé là, dans quelle mesure serait-je capable d’ouvrir mon corps et mettre à nu mes chairs, si je me suis muni au préalable des stupéfiants nécessaires à ma désensibilisation ?

Je crois savoir que la simple idée de la douleur cicatricielle post-descente m’empêcherait d’être trop intrusif, mais en même temps je n’en ai aucune certitude expérimentale.

Un jour viendra…