Ah et puis aussi

Je tiens à la dire : on a des déménageurs vraiment baisables.

Entre le petit jeune que je vois chaque jour au repas très calme et silencieux à côté de ses aînés, mais avec un corps à me rendre totalement brûlant, et le plus vieux croisé aujourd’hui à la cantine, le torse nu musclé, poilu comme je les aime et tatoué alors qu’il faisait provision de boissons pour ses collègues, je ne sais plus trop où donner du regard.

Miam.

Et l’autre collègue, présent dans ladite cantine et supposément potentiellement aussi intéressé, n’a pas bronché, me faisant douter de ses préférences sexuelles.