Le rouge et le noir

Le Rouge et le Noir, c’est le prochain livre que je devrai lire pour épuiser toute la lecture que j’ai apportée avec moi cette semaine.

Les Chroniques, c’est fini, depuis hier soir. C’était intéressant, je ne pensais pas trouver une variété aussi grande de réflexions et de situations dans cette série de six épisodes.

Maintenant, c’est au tour de Eragon (Christopher Paolini), commencé ce matin, découvert il y a quelques semaines sur la table de chevet d’un gen bien de ma connaissance. C’est pas du tout le même style (roman épique fantastique, contre sitcom à San Francisco pour les Chroniques), c’est en anglais et c’est plus gros, donc j’espère que ça me tiendra plus longtemps cette fois.

Ce week-end, je suis parti me changer les idées. Ce fut plutôt bien réussi. J’ai pu voir les récentes coulées de lave (désormais refroidies), et je dois avouer que c’est mieux (plus impressionnant) en vrai que dans l’imagination d’après les photos.

Dans ce pays, il pleut beaucoup. C’est agréable, et ça compense le fait qu’on ne puisse pas (ou peu) se baigner dans les plages : il y a moyen de se mouiller quand même. Et même de se noyer, dans les torrents d’eau de pluie qui descendent les rues en pente.

Et j’ai appris l’histoire de la canne à sucre et révisé le processus de fabrication du sucre à partir de la canne. C’était chouette.