Décadence et anti-consensualité

En vrac :

  • aujourd’hui, j’ai bu du mauvais champagne avec de la bonne vodka. Comme quoi, Absolut améliore les coktails.
  • il y a à côté de Vodka-Pomme deux dictionnaires et un volume encyclopédique, pour me rappeler que j’ai en projet d’écrire un diatribe sur l’illetrisme chronique des media, qui mélangent racisme, xénophobie, fracture sociale, agressivité, incivisme et manque d’éducation dans une soupe nauséabonde. Car sous couvert de condamner un soi-disant « nouveau racisme anti-blancs, » il y a le risque de nuire, à long terme, à tout une frange de population pour de très mauvaises raisons.
  • je serais très étonné (pour rester politiquement correct) si je me trouvais un jour des affinités particulières pour une personne qui aime le football.
  • il faut que je me retrouve des livres. Vite.
  • ça fait déjà plus d’une semaine que ceux de mes rêves d’habitude connotés d’érotisme se sont convertis en éloges de la tendresse et du confort quotidien. (En gros, plutôt que d’y voir des bites, j’y vois des bras qui me tiennent gentiment dans un canapé confortable)
  • je rêve parfois que je suis en train de lire un livre sur les rêves. Peut-être que c’est un avertissement à propos de mon rythme de lecture effréné. Ou que je rêve trop. Ou les deux. Ou bien ?
  • il y a des gens que je voudrais bien revoir mais à qui je n’ai rien à dire. Alors je passe beaucoup de temps à essayer de trouver un sujet de conversation qui pourrait justifier que je les appelle. Et ça me rend triste de ne rien trouver.
  • la semaine dernière entre deux rêves je me suis rendu compte que dans une société comme celle décrite dans Snow Crash (Neal Stephenson), je ferais probablement partie de ces personnes qui sacrifieraient leur corps dans le monde réel pour s’échapper dans le virtuel. Et ça me fait peur.
  • je me plais à penser que les gouvernement criminalisent les drogues parce qu’elles permettent à l’individu d’échapper intellectuellement au pouvoir.