Analyses, round… ah et puis non zut.

Quand je me relis, j’ai l’impression d’observer s’exprimer un goujat malappris, aux idées insalubres, à qui je ne confierais l’avenir du monde sous aucun prétexte.

J’étais fatigué, peut-être. Ou peut-être s’exprimait tout simplement le besoin de se défouler, de laisser s’écouler la rancune de cette situation déplorable`* <{filename}2004-05-29-bzzzzzz-clock.rst>`__ de la semaine dernière qui encore aujourd’hui m’a harcelé au réveil :

« tu étais collé à moi, c’était bien, mais je pensais à mon doigt dans son vagin, et c’était plus important. »

Gniarf. Cauchemar.

Mais ça finira bien par passer.

Je viens de recevoir un mail de ma correspondante en Chine, qui m’a fait chaud au coeur. De quoi réviser mes priorités dans la vie.

Hop, au boulot.