Morne week-end !

Déjà, ça n’avait pas bien commencé, vendredi soir. J’arrive de Åkerberga pour trouver les gens du bureau en train de méditer après la lecture du blog. Déjà raconté, mais bon. Juste un peu plus tard, avant le départ du bureau, Kemel commence à me faire la morale selon quoi il n’est pas moralement acceptable de parler des gens sans leur demander leur avis au préalable, en particulier pas de mentionner leur noms aussi précisément. Et ce avec une tentative (ratée, mon directeur d’EPITA m’y avait entraîné auparavant) de m’intimider par un vent de menace de poursuivabilité judiciaire pour violation du droit au contrôle de l’utilisation de la marque, ici symbolisée par le nom de l’entreprise figurant à plusieurs endroits. Depuis, il n’y est plus, tant pis pour la bonne pub que je leur offrais gratis. ;-)

Le soir, sortie en ville pour se changer les idées, repas au Hard Rock Café, où une serveuse fort sympathiquement agréable à regarder nous sert une nourriture fortifiante quoique de pauvre qualité gastronomique. Sur ces entrefaîtes, Kemel nous rejoint avec Hella, et entre autres discussions avec Ludo sur je-ne-sais-quel-sujet-qui-m’intéresse-peu-par-ailleurs, voici que Kemel commence à tenter de m’expliquer que ça ne se fait pas d’écrire comme ça sur les gens, ce qu’ils font et ce qu’ils pensent, et qu’avoir décrit avec autant de détail la potentielle attirance de l’une pour un autre risquait de nuire à l’ambiance de travail au bureau. Allons donc !

Bref. Monsieur débarque de la lune, découvre les blogs, ne sait pas quoi en penser, et se défend par l’attaque. Pourquoi pas, mais ce n’était pas agréable et ça ne m’a pas mis de bonne humeur.

Samedi, tempête de neige, et tandis que Ludo brave les éléments pour tenter de trouver des cartes de voeux de nouvelle année (en retard un peu…) je reste à l’appartement pour rédiger mon rapport de stage, qui affiche 20 pages au compteur aujourd’hui.

Dimanche, début de journée difficile (au lit, grasse matinée oblige), puis tentative, ratée, de sortie en ville : elle était motivée par un désir de faire quelques emplettes, et j’arrivai au moment où les magasins fermaient. Tant pis.