Fin d’après-midi d’une journée pépère. Ce matin, lever à une heure raisonnable (comparativement au WE), petit-déjeuner frugal et départ vers l’inconnu… L’itinéraire était flou, et je n’avais pas d’adresse de destination. Bilan: 1/4 d’heure à chercher l’arrêt de bus au départ, la station d’arrivée manquée, 1/4 d’heure de marche en arrière pour arriver au boulot.

Journée tranquille, passée à moitié à la rédaction du cahier des charges et des propositions de charges (bientôt terminé), et à moitié à discuter via le net avec des gens… Avec DI en fond sonore, roulaize !

Constat déplorable : Monsieur (Maxime de son petit nom, il m’a donné la permission de le donner) m’explique qu’il n’est pas connecté le jour mais plutôt en soirée. Et bien que je puisse encore profiter quelques jours de la connexion de mon patron chez lui, quand j’aurai mon propre appartement il est peu probable que j’y serai connecté. D’où légère angoisse pour trouver les horaires compatibles… Par contre, heureuse nouvelle ! Il vient me voir le 25 (si tout va bien) et reste quelques jours. Youpi !

Premier repas du midi au boulot, dans un restau pas loin du bureau, où le repas standard du travailleur moyen coûte 58 couronnes, c-a-d pas cher, mais plus cher que le R.U. parisien.

Re-découverte du projet Freenet, basée sur des principes alléchants (distribution des données et anonymat), et qui va peut-être m’économiser du travail de développement.

Il faudra que je pense à demander à un prof de suédois du matériel pour commencer à apprendre sérieusement. Kemel m’a déconseillé d’acheter un dictionnaire moi-même…