Décalage

Note pour plus tard : aller voir le film Otage(s?), j’aime bien Bruce Willis et en plus il a les yeux verts sur l’affiche.

La question du jour : tandis que beaucoup de programmeurs reconnaissent et promeuvent l’utilisation des commentaires littéraux dans le code qu’ils écrivent, n’y en a-t-il pas trop peu qui se rendent compte qu’il s’agit simplement de redondance d’information pour couvrir les risques de pertes linguistiques, et que ces commentaires seront tout aussi illisibles que ce qu’ils documentent si la langue dans laquelle ils sont exprimés se perd ?

Bref.

J’ai passé une excellente soirée hier. Un peu alcoolisée, mais point trop, et j’ai eu la chance de découvrir l’Absolut Raspberry, qui a vraiment très bon goût. Idée de coktail : raspberry + jus de framboise + piment, à tester.

Nous sommes allés, la sublime et explosive jouvencelle qui m’accompagnait et moi, à Lô Sushi, un restaurant situé en-dessous de Kenzo à côté de la Samaritaine. Cet endroit est magique : les convives s’installent au bord d’un comptoir unique disposé tout autour de la salle, de telle manière à pouvoir regarder un peu tout le monde. Au milieu de ce comptoir, un tapis roulant qui circule aussi tout autour de la salle amène les assiettes de sushis, et on y prélève ce qu’on veut consommer. Et la touche de luxe, c’est les écrans tactiles placés devant chaque assiette, avec l’aide duquel et d’une baguette on peut discuter par écrit ou par dessin avec n’importe qui dans la salle ! Et ça, tout le monde en usait et en abusait, et c’était assez rigolo.

S’est ensuivi un petit détour à l’avant-dernier étage du même bâtiment, chez Kong (un bar), où j’ai découvert Absolut Raspberry. C’était aussi un chouette bar, et j’avais un beau paysage dans ma diagonale arrière gauche (sic). « So cute, » le paysage, d’ailleurs.

Excellente soirée donc, en tout cas de mon côté, même si j’ai passé mon temps à écouter mon interlocutrice et que j’ai peut-être pu paraître légèrement « passif. » Il faut dire qu’elle fait partie des rares personnes dont la conversation me subjugue, mais je crois qu’elle aime ça puisque c’est elle qui propose nos virées nocturnes.

Plein de souvenirs, de pensées, de réflexions.

Par contre, je me suis fait héberger chez sa maman, et j’ai découvert dans la pièce où j’ai dormi des choses dont j’aurais préféré ignoré leur existence. C’était un choc, et je vais probablement avoir du mal à m’en remettre. Mais rien de grave, et rien qui n’entache la soirée précédente.

Plein de noms à retenir : le Cab, le jardin d’hiver de l’Hôtel Maurice, le Café Noir, le Lézzard Café, Andy Whaloo…