Manque de lest
Depuis plus d’une semaine déjà, j’essaie de lire le Cryptonomicon (Neal Stephenson). Hélas, je n’accroche pas. Peut-être parce que je ne suis pas très concentré, mais peut-être aussi parce que l’œuvre m’apporte moins que ce que j’en attendais (lire : je suis déçu). Alors je lis petit à petit, sur chaque trajet de métro, quelques pages à la fois, et j’attends que ça se passe.
Np: Robert Miles — Princess of Light
Ce soir, je suis allé participer à l’inauguration des nouveaux locaux d’une entreprise, une occasion de socialiser avec des plus-vieux-que-moi, de voir des vrais gens de la vraie vie, de déguster quelques amuses-gueules très bien fait et de boire un très bon champagne déjà connu.
C’est ainsi que je me suis détendu après une demi-journée passée dans mon ancienne école à enseigner Zope dans une classe, détendu à tel point que je suis rentré chez moi las mais tranquille. J’étais tellement détaché de mes préoccupations que je me suis surpris à m’observer, en donnant à manger à mon chat, le bas du corps depuis l’altitude de ma tête, et de me juger agréable à regarder ainsi. Pour récompenser mes jambes de cette vision agréable, j’ai offert à mes jambes un massage à la crème de camphre, et je m’en suis trouvé fort aise.
Petit câlin pour le chat, puis dodo.