C’est bizarre de se dire qu’on a commencé une entrée de blog la veille, pour la finir le jour d’après. Que signifient les dates d’émission avec une telle manière de faire ?

Enfin… Suit le récapitulatif des événements.

Mardi, c’était soutenance de stage, comme prévu. Ce n’était pas spectaculaire, sans être inintéressant : en petit comité, j’ai fait ma petite présentation, totalement improvisée (mais en prétextant après coup l’avoir préparée en anglais, justifiant par là le petit débordement temporel), le président du jury était content, et j’ai eu une bonne note. Pouêt.

Après, par contre, on a bu le champagne. Ça, c’était bien. Surtout qu’il y avait plusieurs personnes que je n’avais pas revu depuis longtemps, collègues de l’école, et que j’ai eu beaucoup de plaisir à retrouver. On a beaucoup parlé, pas mal plaisanté, mais sans trop ressasser les souvenirs d’école, donc ce n’était pas pesant. Agréable, quoi !

Le soir, c’était sortie au Merle, pour me défaire de tout le petit stress accumulé dans la journée (moins dû à la tension de la soutenance elle-même qu’à l’emploi du temps serré qui a organisé la journé). Là, par contre, c’était moins bien : le lieu était bondé, il faisait chaud, et la musique n’était pas très agréable (encore moins que lundi !) - d’où la décision désormais prise de ne m’y montrer régulièrement que le lundi.

Hier soir, j’avais rendez-vous à l’INSIA pour aller voir le très estimé (en tout cas pour moi) Jadawin à qui j’avais proposé quelques heures auparavant d’aller noyer sa déprime dans le flot de l’animation parisienne… Au final, j’étais en retard (il faudra un jour que j’apprenne à gérer mon temps de présence au bureau) et nous avons du nous contenter d’un petit pot amical en présence d’autres gens bien au café du coin, suite à quoi il m’a fait visiter les locaux, souterrains, d’ambiance futuriste quoique un peu trop sobre, de cette école qui est la sienne et où les gens doivent composer avec le paradoxe de la confrontation d’un environnement de travail idéal pour leur domaine d’activité et d’une pédagogie désastreuse.

Et j’ai peut-être trouvé un appartement. :)