Résumé des épisodes précédents.
La semaine a été relativement pauvre en événements. Même si j’en retire trois bons souvenirs.
Tout d’abord, comme prévu il m’a fallu pendant une semaine me replonger dans la version initiale de mon projet pour le boulot, afin d’arriver à quelque chose de statisfaisant aujourd’hui. Il a fallu pour ce faire un nombre d’heures de travail auquel je ne m’attendais pas, qui m’a même valu de passer un week-end studieux sans sortir. Bon, certes, il a été moins intense que ce fameux week-end de janvier, mais il faut dire aussi que cette fois je me suis alloué une semaine de travail pour une semaine de travail, alors que l’autre fois il fallait régler en quarante-huit heures le travail de deux mois.
Bref.
Le tout pour dire que j’arrive aujourd’hui au boulot avec plein de choses faites (ce qu’il fallait) mais plein de choses restant à faire (ce qu’il faudra). Merci à Plone pour me simplifier la vie, mais quand même… J’avais perdu l’habitude de travailler autant. :)
Et les bons souvenirs, dans tout ça ?
Le premier, ce fut Magali, qui m’a quitté mercredi, mais avec qui j’ai passé très agréablement le week-end précédent.
Le second, c’est une longue conversation avec des gens bien sur IRC jeudi, en fin de journée, à un moment où je n’étais pas en forme pour travailler (petit coup de déprime), et à l’occasion de laquelle j’ai découvert qu’il y a vraiment des gens très bien dans le monde, quand même.
Oui, je sais, je donne trop de valeurs sémantiques à « bien, » mais ça me permet de dire beaucoup de choses tout en restant politiquement correct, et surtout, bref.
Le troisième, c’est la lecture de Memoirs of a Geisha, par Arthur Golden, dans la nuit de vendredi à samedi. Je présente mes excuses à Ludo pour l’avoir empêché de dormir la veille de son départ en avion, mais l’histoire était captivante, et m’a emporté dans un décor de l’histoire du Japon que j’ai pris beaucoup de plaisir à découvrir.