Redescente sur Terre
Pour en revenir aux émois du mardi soir, je dois avouer qu’une journée à la maison et ses quelques moments de calme isolé m’ont aidé à reprendre la raison. Et je n’oublierai pas ici la participation fortuite de Robert Miles, dont la musique a accompagné avec délicatesse Morphée dans mon lit, provoquant par là un sommeil sans rêves, et donc sans cauchemars. Merci Robert.
La raison, effectivement, rend maître de ses émois. Une fois passé le deuil de ma tâche Visuellement Basicque, j’ai décidé que la vie suivait son cours, qu’il existait beaucoup de gens plus malheureux que moi et que ce ne serait pas un service à rendre à ceux que je connais de baisser les bras pour eux. Enfin, clairement, rien de mieux qu’une séance de serpillère pour nettoyer les idées noires en même temps que le plancher.
Demain, afterwork pour fêter le départ d’un collègue, et samedi arrivée de Mag à Stockholm. Youpi ! Il faut juste que d’ici là je trouve un moyen discret et propre de me débarasser de mon colocataire (coucou Ludo) pour faire de la place…