Lassitude

Comme prévu, j’ai fini ce bouquin : les deux trajets nécessaires pour un repas-business à Nanterre ont suffit pour dévorer ce qui restait de ce matin.

C’est très dur, parce que jusqu’à la dernière page on a l’impression que tout va aller mieux, qu’elle va finir mariée avec un prince charmant et avoir plein d’enfants, puis la page d’épilogue se charge de tout détruire, froidement, rapidement, irrémédiablement.

Là tout de suite, j’ai envie de parler avec quelqu’un, qu’on me serre très fort pour me réchauffer.

Alors, en attendant ce soir, je vais travailler, pour oublier.

Aujourd’hui, c’est DJ Doboy, pour changer un peu de dj GT et di.fm.