Ça y est presque…

Tous les gros trucs sont soit empilés, soit démontés.

Les lingeries sont réparties entre valises et sacs de voyages.

Il me reste quatre grands cartons vides et un monceau de papiers / bricoles / accessoires / trucs à jeter en tas au milieu de la pièce. Des envies d’autodafé me traversent l’esprit.

Avec un carton, je pourrais clôturer l’affaire. Pas de bol, je n’aime pas mettre dans une seule boîte des choses décorrélées.

Mais je vais être raisonnable, parce que je dois me lever tôt, tout à l’heure.