Bien, très bien et moins bien

Bien : « faites l’amour, pas la guerre. » J’aime.

Très bien: la soirée de ce soir. Je craignais souffrir, la journée ayant été longue et fatigante. Au final, j’ai découvert le restaurant Joe Allen à côté des Halles (une agréable surprise), fait connaissance avec un nouveau gen bien dont une gen bien me dit ensuite (approximativement) « en fait, j’ai compris comment tu marche : tu as des relations quasi-familiales avec le milieu geek, et tu partages avec eux le souci de précision et d’exactitude ; en même temps, tu aimes socialiser, discuter et tu fonctionnes à l’affectif ; à mon avis, il est un peu comme ça aussi, et c’est pour ça qu’il te plaît. » Bon à part qu’il est un peu trop sportif, trop marié et trop papa à mon goût, c’est pas loin.

Après, je suis allé à côté de la Tour Eiffel, et c’était chouette. Parce que c’était l’occasion de revoir un gen bien que je n’avais pas vu depuis plus de cinq ans, et que ça m’a fait tout bizarre de voir son nom à côté de son numéro quand son téléphone m’a appelé : il était là dans l’annuaire, je ne l’avais pas oublié, mais c’était un contact dormant que je ne savais comment réveiller. Hé bien c’est fait, et il a moins changé que ce que je présageais.

Je continue les premières pages du Cryptonomicon (Neal Stephenson), et je commence à accrocher. C’est moins directement prenant que Snow Crash, mais j’aime bien quand même.

Par contre, en rentrant, c’était beaucoup moins bien. Il ne faut pas cliquer sur ce lien. Non, vraiment pas, il ne faut pas. Je vous aurai prévenu.