Occupations diverses et très variées

Vendredi dernier soir, j’allai visiter le Gibus.

Le Gibus a cela d’intéressant que tous les vendredis, on y passe de la trance. Pas très bonne, mais quand même. Et la cerise sur le gâteau, c’est que tous les vendredis ce ce mois-ci c’est open-champagne de onze heures à minuit.

Alors forcément, j’ai trouvé ça bien. En plus, c’est assez confortable, le bar n’est pas trop petit ni trop bruyant et il y a un petit salon assez éloigné de l’intensité sonore pour se poser et se reposer.

Aglop.

Ce week-end, c’était différent.

Vendredi soir, je suis allé chez un gen bien parti en week-endpour m’occuper de son chat. Et j’en ai profité pour piocher dans sa réserve de DVDs et m’offrir une projection (au sens figuré du terme, je doute pouvoir décemment appeler « projection » la lecture d’un film sur l’écran de Vodka-Pomme) de… Escaflowne (les Visions d’Escaflowne).

C’était fort agréable, et je suis plutôt content d’avoir rajouté cet élément à ma culture naissante.

Samedi, j’ai beaucoup larvé, pour me préparer physiquement et psychologiquement à la soirée de samedi soir : aller socialiser avec plein de tapettes dans une maison de tapette (17 personnes dans environ 35m²).

Chose curieuse (étant donnée ma dernière expérience en la matière) j’ai trouvé cette soirée fort agréable. Déjà, les individus en présence étaient tous gentils, intelligents, agréables à regarder, et presque tous célibataires (sans quoi ma déprime serait vite arrivée). Ensuite, nous avons tranquillement bu, discuté, larvé, mais aussi dansé (avec de la bonne musique) et mangé (pour équilibrer), ce qui m’a permis de tenir en assez bonne forme jusqu’à environ cinq heures du matin, heure à laquelle je me suis doucement rentré chez moi pour dormir.

La suite était agréable, aussi. À midi, je me suis doucement levé puis abluti, pour ensuite rejoindre Mag et Tom pour manger et discuter. Nous avons passé l’après-midi ensemble, notamment pour aller visiter l’exposition Images du Monde Flottant au grand palais, ou sont présentées des collections d’estampes japonaises de la période d’Edo.

J’en garde un très bon et très riche souvenir, quoique assez indescriptible. En particulièrement remarquable, les artistes de l’époque se voyaient vraiment avec des pénis monstrueux (complexe ?) et les femmes avaient des visages totalement anonymes.

Je pense que j’y retournerai.

Ce soir, dodo, après avoir rempli un dossier d’inscription pour l’Université de Lettres de Rouen : je vais suivre des cours de Sciences du Langage par correspondance.