La belle et la bête

Lundi, je finissais de lire les Amitiés particulières de Roger Peyrefitte. C’est magnifiquement écrit, mais je suis resté insensible aux effets secondaires de la vie en collège catholique. Pour moi, un roman qui puise sa quintessence dans une liturgie que je conchie n’a absolument aucun mérite.

L’atrocité de la journée aura probablement été la lecture de Harrison Bergeron, une nouvelle de Kurt Vonnegut commentée ici. Dans la foulée, j’ai appris la signification du mot distopie. Intéressant.