Soulagement

Je suis très très en retard, mais je tiens à corroborer l’avis d’un estimé gen bien qui tantôt affirmait que « Quand il pisse, il KIF! » en ajoutant que nombreuses sont les occasions d’entendre les témoignages de ces dames qui se plaignent ne pas comprendre le plaisir éprouvé par les hommes pour une activité qu’elles perçoivent essentiellement comme une corvée répétée.

Il se trouve que j’ai une théorie sur la question, qui me marque pas sa simplicité : ce plaisir serait dû aux sensations provoquées par la stimulation de la prostate par les flux qui la traversent !

Je rappelle les faits par des illustrations : une provenant d’un cours d’université, et l’autre pour les déséquipés du bulbe qui ont besoin d’un schéma simplifié.

La prostate est un élément assez central au bas-ventre, et tout explorateur en herbe qui sera allé palper son fondement témoignera que la stimulation de la prostate joue un grand rôle dans le plaisir masculin.

À partir de là, imaginant facilement le fait qu’un fluide parcourant les passages prévus à cet effet à l’intérieur de la glande sus-mentionnée puisse exercer des pressions sur ses parois internes, pressions elles-mêmes irrégulières en raison des turbulences du fluide provoquées par le circuit compliqué qui l’y a amené, je me dis que le simple passage de l’urine dans la prostate est nécessairement, mécaniquement, source de plaisir à chaque miction.

Je ne détaillerai pas cette fois les probables corrélations entre le passage d’une selle volumineuse par le rectum et le soulagement qui s’ensuit, mais la proximité de la prostate avec le rectum, proximité réduite par les pressions des entités concernées par l’acte, est probablement matière à raisonnements similaires.