Traumatisme

Beaucoup d’émotion pour moi dans la dernière réédition de Ron.

Une situation qui me vient dans certains de mes cauchemars, une anxiété fondamentale que je retrouve régulièrement dans mes lectures depuis que j’y ai été initié par 1984 : le seul refuge inviolable du passé, c’est la mémoire, et pas la matière qui peut être modifiée pour tenter laisser croire que le passé est autre. Quand la mémoire est violée, le passé meurt.

J’en ai des sueurs froides.