Suite

Après avoir écrit, j’ai dormi, affalé sur mon tapis dans ma chambre ; je me suis réveillé vers minuit, à point pour dire au-revoir aux premiers quittants, mais aussi pour le premier service de Champagne et de gâteaux.

La fin de la soirée était beaucoup plus agréable pour moi : moins de gens, moins de fatigue, plus d’alcool (dont une fabuleuse vodka-pomme à base d’Absolut) et quelques mots philosophiques intéressants sur le bien-fondé (ou non) de définir une existence seulement par l’interaction entre individus. J’ai de quoi réfléchir pour les deux prochains jours.

Et maintenant, dodo.