Impulsions

Aujourd’hui, c’était une bonne journée.

D’ailleurs ça me fait penser qu’il est tard et que je devrais être en train de dormir, pour être en forme demain et que demain soit une aussi bonne journée.

Pour récapituler :

  • j’ai avancé mon travail correctement (pas très bien, mais pas trop mal non plus) ;
  • j’ai rédigé ces discours (pas tous, par manque d’inspiration, mais un peu quand même) ;
  • j’ai socialisé avec une demoiselle fort aimable et délicate — nous avons disserté sur l’empathie et la souffrance, et découvert que nous partageons des vues communes sur le sujet ;
  • je me suis entretenu avec des gens bien de mon ex-labo, d’abord pour le travail puis sur la philosophie de notre domaine d’activité, pour nous laisser peu à peu emporter dans le labyrinthe de nos considérations, activité que j’affectionne tout particulièrement ;
  • j’ai reçu un coup de téléphone qui ne m’était pas destiné, mais à l’occasion duquel l’appelante en a profité pour me signifier explicitement qu’après lecture de mon blog, elle ne me tenait plus rigueur de mes erreurs passées (les récentes d’il y a quelques semaines), et qu’il est désormais possible que nous nous fréquentions à nouveau en bon termes ;
  • depuis hier, j’ai rencontré l’image fort agréable à regarder de trois jouvenceaux de ma connaissance, qui m’ont montré une fois de plus qu’il n’est pas obligatoire de chercher loin pour beau trouver.

Certaines de ces choses ont provoqué un bien-aise que je désespérais retrouver depuis longtemps. Cela est bon et bien.

Ce serait encore mieux qu’il y aie souvent des journées comme celle qui vient de se terminer. M’enfin je suis quand même content avec ce que j’ai.

À part que j’ai oublié de réserver une camionnette pour samedi.

Bonsoir.