Analyses, round 4

Le pire de tout, c’est que après que j’écrive tout ça, je culpabilise. Je me dis que c’est mal de penser ces choses toutes noires, que la femme comme l’homme fait partie de l’espèce humaine, et que c’est une tare chez moi que d’avoir ce comportement à l’égard de l’autre sexe, sinon un problème psychologique qu’il m’incombe de résoudre.

Comme si je n’avais pas le droit d’être misogyne, ou de dire ce que je pense.

De toutes façons, je le savais déjà : des femmes, il y a maman, les amies et les autres. Et les autres je ne les aime pas.

Voilà.

C’est tout.