Et hop, au dodo !

Bon, finalement, avec une bonne dose de chocolat et un peu de musique douce, après les larmes ça allait beaucoup mieux déjà. Effectivement, « les gens ne pleurent pas assez » - ça fait un bien fou ! À l’heure de partir, je me sentais même raisonnable et posé vis-à-vis de la situation censée me préoccuper.

Bon par contre du coup avec toute cette histoire j’ai quand même perdu un certain nombre d’heures de boulot efficace. Demain la journée sera longue, et pas à cause de la fatigue.

En partant du boulot, je n’avais qu’une intention : aller dormir. Parti en direction de mon futur appartement, j’ai tout de même fait un détour à l’endroit où il y avait des chances de le croiser (on ne se refait pas…) et forcément, il y était. Constat, il était neutre (comme d’habitude) mais pas plus froid que d’habitude. Il a même accepté la possibilité de se rencontrer à nouveau demain soir.

Maintenant, c’est l’heure du dodo. Vivement demain.

Et puis il y a les trous, demain, aussi.